Source article: HyperCycle — The Journey to a Fully AI-Capable Blockchain | by Ben Goertzel | SingularityNET
Translation by: Littlebutts
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HyperCycle - Le voyage vers une blockchain entièrement compatible avec l’IA
Egalement disponible en Indonésien
Salutations aux Singularistes,
Je suis très enthousiaste à l’idée que l’événement de génération de jetons pour le réseau de blockchain sans livre de comptes HyperCycle axé sur l’IA aura lieu en mai !
Je pense qu’HyperCycle a un fort potentiel pour devenir l’avenir de l’infrastructure blockchain - sa conception technique unique résout certains des dilemmes au cœur de la technologie blockchain moderne, qui ont empêché l’espace technologique décentralisé d’atteindre certains de ses objectifs les plus critiques, y compris l’objectif de fournir une plate-forme décentralisée évolutive pour les réseaux d’IA mondiaux.
Le chemin vers l’HyperCycle
Le chemin qui m’a conduit à HyperCycle a commencé il y a deux décennies et demie. Ma première tentative de créer une base décentralisée pour les réseaux mondiaux d’IA date de 1999-2000 - l’Internet était alors plus jeune, mais il était déjà clair que l’intersection des données massives, de la puissance de traitement massive et de l’interaction massive des utilisateurs qu’il offrait allait transformer l’IA… et il était déjà clair que faire résonner toute cette puissance dans l’ambiance merveilleusement ouverte et décentralisée des premiers temps de l’Internet allait être un défi.
J’ai écrit un livre (Creating Internet Intelligence) sur les différentes voies que je voyais pour créer une IA décentralisée émergente sur le Web et ainsi catalyser l’émergence d’une nouvelle sorte de cerveau mondial. J’ai même réfléchi aux aspects politiques de la question - en 1995, j’avais envisagé de me présenter à la présidence des États-Unis sur la base d’un programme du “Parti de la décentralisation”, mais heureusement, en vieillissant et en devenant un peu moins stupide, j’ai renoncé à cette idée.
L’aspect technique de la décentralisation de l’IA s’est toutefois avéré plus problématique que je ne l’avais craint au départ. J’ai imaginé plusieurs façons de faire fonctionner un cryptage fort avec un traitement distribué dans un contexte d’IA, mais tout cela était extrêmement lent. Les frais généraux liés à la mise en place d’un système décentralisé sécurisé allaient être incroyables, semblait-il. J’ai commencé à réfléchir à la possibilité d’intégrer la décentralisation sécurisée dans une version forkée du système d’exploitation Linux et dans les protocoles Internet. Puis le krach des dot-com s’est produit, et mon attention a été détournée pour mettre de la nourriture sur la table de ma famille, et pour trouver comment rendre mes conceptions AGI de base raisonnablement efficaces et évolutives, ce qui s’avérait être un défi majeur, même sans ajouter l’exigence d’une décentralisation sécurisée.
(Si j’avais pensé en 2000 à lancer un réseau décentralisé sécurisé avec de l’argent décentralisé plutôt qu’un traitement décentralisé de l’IA, alors, eh bien… j’aurais été Satoshi, ce qui n’est pas le cas ! Mais j’étais obnubilé par l’IA, qui est plus complexe et plus gourmande en processeurs que les transactions financières de base, alors…)
En 2015, Ethereum apparaît avec sa notion de contrats intelligents (dont j’ai immédiatement remarqué qu’ils n’étaient ni intelligents ni des contrats, mais qu’ils étaient tout de même assez cool lorsqu’ils étaient interprétés correctement comme des scripts persistants fonctionnant sur un réseau distribué et tirant parti d’un système décentralisé astucieux pour la validation des scripts et la sécurité globale du réseau). Pour la première fois, j’ai vu une façon assez claire de faire fonctionner un réseau d’IA décentralisé.
2017 : Incipit SingularityNET
SingularityNET fournit un cadre décentralisé de base permettant à de multiples agents d’IA d’interagir, de se confier des tâches, d’évaluer leur réputation, de se payer mutuellement avec des jetons AGIX, et de collaborer et coopérer de manière flexible. La plateforme de base est en place depuis un certain temps, mais certains ingrédients importants sont encore en cours de développement, notamment le langage formel “AI-DSL” que les agents utiliseront pour communiquer leurs propriétés et leurs exigences les uns aux autres, ce qui permettra l’assemblage automatisé d’agents composés sans intervention humaine. Nous avançons à grands pas vers une version bêta de l’AI-DSL qui pourra être mise en œuvre.
Au cours du développement de SingularityNET, diverses limitations du réseau Ethereum sont devenues évidentes, et un effort a été initié à la fin de 2021 pour commencer à porter le réseau sur la blockchain Cardano, qui a une variété d’aspects préférables au niveau de la science informatique. À l’heure actuelle, le portage Cardano de la plateforme SingularityNET est partiellement achevé, et sa finalisation est en attente de la publication du cadre Hydra complet par l’équipe de développement Cardano, qui permettra la gestion flexible des canaux d’état de la manière requise par la dynamique multi-agents de SingularityNET.
Un autre aspect qui est apparu clairement au cours du développement de SingularityNET est la nécessité d’une tokenisation explicite des ressources informatiques sous-jacentes au réseau. Les agents d’intelligence artificielle de SingularityNET interagissent les uns avec les autres au niveau des API logicielles, mais ils fonctionnent tous sur l’un ou l’autre dispositif matériel et doivent d’une manière ou d’une autre payer pour ces ressources matérielles. La décentralisation de cet aspect sous-jacent des réseaux d’agents d’IA nécessite un réseau et une place de marché pour la fourniture et la demande de ressources matérielles - ce qui est maintenant fourni par le projet NuNet, lancé en 2021 en tant que spin-off de la fondation SingularityNET.
Au niveau des jetons, la façon dont ces réseaux sont conçus pour interopérer est la suivante : Alors que l’AGIX est ce que les clients et les agents d’IA paient pour les services d’IA fournis par les agents sur le réseau SingularityNET, le jeton NTX est ce que les agents d’IA paient pour les ressources informatiques qu’ils utilisent pour effectuer le traitement nécessaire à la fourniture de leurs services.
"Quand SNet construira-t-il sa propre blockchain ?
Une chose que je savais que je ne voulais PAS faire, dès les premiers jours de SingularityNET, était de lancer ma propre blockchain. Les membres de la communauté SingularityNET me demandaient souvent “Quand aurons-nous notre propre blockchain Singularity ?” et ma réponse était généralement quelque chose comme “Quand ferons-nous notre propre version du système d’exploitation Linux ? Quand construirons-nous notre propre architecture de puce ?”
Eh bien, nous nous en tenons toujours aux distros Linux standard, à partir d’aujourd’hui. Mais nous collaborons avec Simuli sur la construction d’une carte AGI, y compris notre propre puce de correspondance de modèles OpenCog, qui sera utilisée pour accélérer à la fois le cadre AGI OpenCog Hyperon et les contrats intelligents sous-jacents à HyperCycle. Et, oui, nous sommes en train de créer notre propre blockchain, alias HyperCycle.
Plus j’avançais dans l’expérimentation d’algorithmes et de structures d’IA enveloppés dans des nœuds SingularityNET, plus j’étais frustré - parce que le principe de base que je me sentais motivé à suivre, pour des raisons purement pratiques, a toujours été de “minimiser l’utilisation de la blockchain”. Parce que les transactions sur la chaîne étaient tout simplement si lentes et si coûteuses sur Ethereum. Le passage à Cardano a le potentiel d’améliorer significativement cette situation, mais il semblait clair que même ces améliorations n’allaient pas être suffisantes.
Pour pouvoir placer de plus petits éléments de traitement de l’IA et de la structure de connaissances de l’IA sur la chaîne, il faudrait une percée vraiment radicale dans la mise à l’échelle de la blockchain.
Mais la valeur de la mise en place d’un processus et d’une structure d’IA plus granulaires sur la chaîne semblait plus évidente que jamais. Ce n’est qu’ainsi que de multiples parties peuvent contribuer de manière sûre et décentralisée à la création des pièces atomiques d’un esprit d’IA partagé. Ce qui nous donne beaucoup plus de potentiel pour l’émergence d’une IA décentralisée intéressante et révolutionnaire que si plusieurs parties collaborent uniquement en contribuant chacune à des composants indépendants assez importants d’un esprit d’IA décentralisé partagé.
La blockchain n’a pas besoin d’un grand livre
La percée pour moi a eu lieu en 2019 lorsque j’ai finalement pris le temps de creuser ce que mes amis Toufi Saliba et Dann Toliver avaient écrit sur leur cadre de blockchain sans livre de comptes TODA. Je les avais déjà entendus parler de TODA, mais je n’avais pas tout compris, car les concepts étaient nouveaux et les documents disponibles n’étaient franchement pas très conviviaux.
Le fait que Bitcoin et Ethereum s’appuient sur un grand livre répliqué m’a toujours semblé être un piratage… lors de mes premières explorations d’idées concernant le traitement distribué décentralisé et sécurisé, il était déjà clair pour moi que ce type de solution ne pourrait pas vraiment être mis à l’échelle. D’une manière ou d’une autre, il fallait que l’historique des transactions dans un réseau soit fractionné de manière sécurisée dans l’ensemble du réseau, et non agrégé en un seul endroit (même si des copies de cet “endroit unique” sont stockées sur l’ensemble du réseau en de multiples endroits). Cependant, ce fractionnement est complexe à réaliser, et je comprends pourquoi Bitcoin et Ethereum ont voulu commencer avec des grands livres répliqués.
Le passage des grands livres répliqués aux grands livres partagés m’a également semblé naturel lorsqu’il s’est présenté, mais il a eu l’effet d’un épicycle de Ptolémée - ajoutant de plus en plus de complexités à une conception sous-optimale, la rapprochant de quelque chose de sensé, plutôt que de partir d’une approche plus sensée dès le départ.
Ce que j’ai vu dans TODA, c’est, pour la première fois, une combinaison de structure de données et de protocole qui permettait un contrôle et une coordination décentralisés des processus logiciels distribués, sans qu’aucun registre répliqué ne soit intégré au cœur du système. Au lieu de cela, l’historique des transactions du réseau était stocké dans des fichiers cryptés répartis entre les différents nœuds du réseau.
Les grands livres peuvent être superposés à TODA, lorsqu’il s’agit d’un moyen approprié de gérer les enregistrements relatifs à ce qui se passe dans certains sous-réseaux du réseau global. Mais ils ne constituaient pas un aspect obligatoire, intégré dans les rouages du système. Certains sous-réseaux importants du réseau pourraient être entièrement dépourvus de registres et atteindre ainsi des niveaux de vitesse et d’évolutivité sans précédent.
En 2019, j’ai donc commencé à réfléchir à la manière de construire un “SingularityNET sur TODA” - en plaisantant comme un geek que “La Todalarité est proche”…
En creusant plus profondément dans les détails de TODA, j’ai commencé à réaliser que pour créer une utilisation sophistiquée et vraiment optimisée de TODA pour faire fonctionner les communautés d’agents d’IA de type SingularityNET et NuNet, il faudrait faire quelques inventions supplémentaires.
Il semblerait qu’il y ait un rôle à jouer pour le système de “preuve de réputation” que mon collaborateur de longue date en IA, Anton Kolonin, et moi-même avions élaboré - dans lequel les membres d’un réseau blockchain accumulent un score de réputation par le biais de divers moyens et sources, et les droits de confirmer les transactions dans le réseau sont accordés en fonction du score de réputation. TODA disposait de ses propres mécanismes de consensus, qui étaient également excellents, mais la superposition d’une dynamique de preuve de réputation permettrait d’accroître l’efficacité et de simplifier les choses dans de nombreux cas d’utilisation.
Des contrats intelligents qui le sont vraiment
TODA ne disposait pas non plus d’une couche native de contrats intelligents. Ce n’était pas nécessairement un problème pour de nombreuses applications - on peut faire beaucoup de choses sans contrats intelligents, en tirant parti d’un système bien conçu d’appels d’API. J’avais déjà vu ce modèle de conception dans la blockchain NEM, entre autres. Cependant, pour un déploiement entièrement sophistiqué d’agents d’intelligence artificielle sur une blockchain, la flexibilité des contrats intelligents avait une réelle valeur, selon moi.
Ma première idée a été de permettre l’exécution des contrats intelligents Plutus, de la blockchain Cardano, sur l’infrastructure HyperCycle. La fondation de Plutus en Haskell a donné l’impression que c’était une tâche réalisable, bien que délicate à mettre en œuvre. HyperCycle deviendrait alors une sorte de sidechain Cardano étrange et fantaisiste. Le framework Hydra pour interfacer les sidechains et les chaînes externes avec la chaîne principale de Cardano s’intégrerait parfaitement ici, permettant une interopération propre entre les contrats Plutus fonctionnant sur HyperCycle et ceux fonctionnant sur la chaîne principale de Cardano.
Toufi, Dann et leur collègue Greg Colvin ont ensuite présenté de nouvelles idées merveilleuses permettant d’accélérer radicalement l’exécution des contrats intelligents dans la plupart des langages, en changeant la façon dont les nœuds du réseau effectuent la validation de l’intégrité des contrats intelligents :
Avec leur nouveau système, chaque validateur d’un réseau n’a pas besoin de vérifier qu’un contrat intelligent est exécuté correctement, mais seulement un sous-ensemble aléatoire judicieusement choisi.
Bien que leurs méthodes puissent fonctionner avec Solidity ou tout autre langage de contrat intelligent, il me semble qu’elles pourraient être déployées avec un effet maximal dans un cadre comme Cardano avec son modèle de transaction UTXO semblable à Bitcoin et ses contrats intelligents purement fonctionnels.
Plus j’étudiais la manière de faire fonctionner efficacement les processus d’IA en intégrant de plus en plus de structures et de dynamiques internes à la chaîne, plus je me demandais si Plutus, aussi génial soit-il, serait suffisant. Je pensais à des choses comme la création d’un réseau neuronal multi-modulaire où les différents modules sont incarnés dans des agents SingularityNET distincts créés et détenus par différentes entités ; ou la création d’un système de raisonnement logique où les prémisses et les justifications entrant dans une seule étape de raisonnement sont contenues dans différents agents SingularityNET créés et détenus par différentes entités.
En fin de compte, il semble que nous voulions vraiment prendre un langage de programmation personnalisé pour l’IA - comme le langage MeTTa que nous développons pour notre système AGI OpenCog Hyperon - et l’adapter à un langage de contrat intelligent pour HyperCycle. L’interprète MeTTa, écrit en Rust, pourrait alors interopérer étroitement avec les smart contracts Plutus via des interfaces de fonctions étrangères Rust/Haskell.
HyperCycle serait alors multichaîne, supportant une variété de langages de contrats intelligents, mais avec un support particulièrement fort pour les contrats MeTTa exécutant des processus d’IA, et un support de second ordre pour les contrats Plutus ou les contrats dans d’autres langages qui pourraient être étroitement connectés à l’interpréteur MeTTa via des FFI robustes. Cela semble en fait dans l’esprit de la blockchain moderne, à côté d’autres innovations récentes comme la capacité d’exécuter des contrats Solidity contre la chaîne principale Cardano, et d’exécuter des contrats Cardano écrits dans le nouveau langage Aiken à côté des contrats Plutus et en interopérant avec eux.
Le dernier ingrédient technique s’est mis en place lorsque j’ai rencontré Lucius Greg Meredith, le cerveau de RChain - une blockchain très intéressante, fondée à peu près en même temps que SingularityNET, et présentant un langage de contrat intelligent appelé rholang qui s’appuie sur des mathématiques uniques et puissantes pour réaliser un traitement concurrent sécurisé et efficace sur des serveurs multi-GPU, par exemple. Après avoir discuté avec Greg, nous avons réalisé qu’il était possible d’utiliser rholang pour créer un back-end de traitement concurrent super efficace pour MeTTa - avec l’intégration de la blockchain déjà intégrée, y compris l’utilisation de tokenomics pour gérer l’utilisation des ressources de calcul en temps réel au cours de l’exécution des contrats intelligents (un énorme avantage dans un contexte NuNet et SingularityNET). Nous avons également réalisé que le formalisme de calcul rho de Greg pourrait jouer un rôle clé pour faire passer NuNet au niveau supérieur, en lui permettant de coordonner plus efficacement l’utilisation du matériel de calcul des programmes MeTTa et d’autres processus d’IA s’exécutant sur différentes machines.
Décentraliser la prochaine vague d’innovation en matière d’IA
Et donc maintenant, au début de 2023, je me retrouve à faire exactement ce que la version 2017-18 de moi-même ne voulait vraiment PAS faire - créer une blockchain personnalisée pour l’IA, avec toutes sortes de nouvelles fonctionnalités complexes et fascinantes conçues spécifiquement pour permettre à de grandes populations d’agents d’IA de se coordonner efficacement à travers un grand pool de machines distribuées à l’échelle mondiale, sans avoir besoin d’un propriétaire ou d’un contrôleur central. Ce que je n’avais pas vu en 2017-18, cependant, c’était l’incroyable collection d’esprits brillants que je trouverais pour collaborer à un tel projet, apportant dans de nombreux cas leurs propres idées gagnées depuis longtemps et des systèmes logiciels fonctionnels à la table - et c’est bien sûr ce qui rend la réalisation de quelque chose d’aussi ambitieux qu’HyperCycle réalisable dans un délai raisonnable.
Recruter Toufi Saliba, co-inventeur de TODA et d’HyperCycle, pour prendre le rôle à plein temps de PDG d’HyperCycle était très excitant pour moi. Alors que Toufi est entré en fonction en 2022 et a commencé à prêcher l’évangile d’HyperCycle à travers la communauté cryptographique et le monde de la technologie, un autre aspect du projet est devenu clair, plus du côté économique que du côté technique. En raison des fluctuations du prix du bitcoin et du passage d’Ethereum à la preuve d’enjeu, ainsi que du boom général dans l’espace de l’IA, il a trouvé un nombre important d’exploitants de fermes minières cryptographiques intéressés par le projet, d’un point de vue à la fois pratique et conceptuel. Ils étaient particulièrement intéressés par la conversion de certaines parties de leurs plateformes d’exploitation de crypto-monnaies en “plateformes d’IA”, utilisant des nœuds HyperCycle qui enveloppent ensuite des agents traitant l’IA à l’aide de SingularityNET, NuNet et d’autres outils de l’écosystème. Il a également commencé à susciter l’intérêt d’un certain nombre de gouvernements nationaux pour la mise en place de nouvelles fermes de serveurs d’IA utilisant HyperCycle comme infrastructure.
Le moment ne pourrait être mieux choisi pour mettre en place de nouveaux cadres mondiaux pour l’infrastructure de l’IA.
Les prochaines années vont être incroyablement intéressantes - ChatGPT, qui est le sujet de conversation du jour, n’est qu’une vague d’innovations en matière d’IA que nous allons voir dans les prochaines années, nous menant à travers la transition de l’IA étroite à l’AGI. Il sera extrêmement bénéfique que la plupart de ces prochaines percées en matière d’IA soient déployées dans l’écosystème décentralisé plutôt que d’être contrôlées par les Big Tech ou les Big Government, et HyperCycle est l’une des pièces maîtresses de la pile technologique nécessaire pour y parvenir.
Pour plus de détails sur le TGE HyperCycle : SingularityDAO HyperCycle Launch Announcement
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